Ashley HARMS

 EXERCICE #1 DÉMARRER, DIFFÉRENCIER, DISTINGUER


Dans  la  première  maquette,  je me suis inspirée du travail de   
Richard  Serra  et du tableau  “L’Arbre  de vie” de  Gustav  Klimt. 
J’ai   voulu  créer  un  espace   dynamique  qui  joue  avec   les 
différents  niveaux et hauteurs des murs qui se transforment .

    
      Gustav Klimt                                                         Richard Serra 



 
vue plan masse 2ème maquette
Comme   deuxième    alternative,    j’ai    décidé   d’explorer   et  
d’approfondir  la  première idée pour mieux occuper l’espace. 
J’ai voulu multiplier  les  possibilités  de déplacement en  créant 
plusieurs   parcours. Je voulait également jouer  sur la fluidité 
en reprenant et en déclinant le motif de la  spirale,  spirales  qui 
permettent parfois de monter et descendre d’un niveau à l’autre.

Les murs de la structure créent des espaces plus intimes au rez
 de chausée en remontant parfois jusqu’au toit ce qui nous  invite 
à  remettre  en  question  les  notions de  dessus  et  dessous, 
d’intérieur et d’extérieur.

La structure est éclairée par le  ouvertures  du  plafond et par les 
rampes.
J’ai cherché   à   établir   un   rapport    entre   deux   surfaces
indépendantes  par des éléments architecturaux: les rampes en 
forme de spirales.

    


    


                                         
 

                     EXPOSITIONS INTERESSANTES!



 

François Morellet - « Deep dark Light blue and neons by Accident »
Expositions > Arts plastiques
du 11 mars au 25 avril 2009 

François Morellet «Deep dark Light blue and neons by Accident»

Kamel Mennour est heureux de présenter la première exposition personnelle de François Morellet à la galerie.
Figure majeure de l’art de ces cinquante – bientôt soixante– dernières années, François Morellet est l’un des principaux
représentants du renouveau de l’abstraction géométrique de la deuxième moitié du vingtième siècle. S’inscrivant dans la continuité de l’art concret – il découvre l’oeuvre de Max Bill lors d’un voyage en Amérique du Sud en 1950-1951 – ses recherches ont su corollairement s’imprégner des éléments ornementaux de l’Alhambra de Grenade où il se rend en 1952. Ce double héritage favorisera la mise en place d’une syntaxe dite «systématique» que l’artiste va décliner inlassablement en s’appuyant sur une multiplicité de matériaux et procédures. Celles-ci témoigneront d’innombrables revivifications mais aussi de remises en question des principes théoriques échafaudés par l’artiste dans les années 1950, notamment dans le cadre du G.R.A.V. (Groupe de recherche d’art visuel). En
effet, l’artiste ne cessera au fur et à mesure de sa trajectoire de se désolidariser de ce cadre restrictif pour s’attacher avec intuition et un sens aigu de (l’auto-)dérision à en renouveler les bases. Parmi ses matériaux de prédilection figure la lumière, introduite en 1963 par le biais d’ampoules électriques puis de néons. Malléables, ces derniers é pouseront un large éventail de constellations géométriques, se situant en cela formellement dans la continuité de ses réalisations picturales. Le recours à des horizontales et verticales, diagonales et courbes alimente ainsi depuis plusieurs décennies un répertoire de formes familier que l’artiste dilate et renégocie à des fins souvent
imprévisibles. Ces vingt-cinq dernières années, l’oeuvre de François Morellet s’est remarquablement débridée, suspendant l’ascétisme souvent en trompe-l’oeil de ses périodes de jeunesse. Au puritanisme d’antan succède ainsi depuis le début des années 1980 une série de « débordements» comme si l’artiste ressentait le besoin après une
période de rétention, infléchie toutefois par quelques écarts, de libérer le «corps» de son travail. Les oeuvres présentées à la galerie Kamel Mennour sont emblématiques de cette libération. Les Deep dark, Light blue exposées au 47, rue Saint André des Arts associent néons et peintures dans une mise en correspondance entre ces deux matériaux régulièrement confrontés par l’artiste. Quant aux Neons by accident (2003) installés au 60, rue de Mazarine, ils cherchent à é tablir un dialogue avec leur enveloppe architecturale. Autant de possibilités reflétant le caractère inépuisable de ses «lumineuses» recherches menées depuis le début des années 1960.
Né en 1926 à Cholet, François Morellet vit et travaille à Cholet et à Paris. Internationalement reconnu depuis les années 1970 et auteur de nombreuses commandes privées et publiques en France comme à l’étranger, il a exposé au Centre Georges Pompidou, au Musée d’Orsay, à la Galerie nationale du Jeu de Paume, au Musée d’art
moderne de la Ville de Paris, au Musée d’art contemporain de Strasbourg, au Consortium de Dijon, au Palais des Beaux-arts de Bruxelles, au S.M.A.K de Gand, au Musée d’art contemporain de Genève, à la Documenta de Kassel, à la Neue Nationalgalerie à Berlin, à la Staatliche Kunsthalle de Baden-Baden, au Musée d’art moderne
d’Oxford, au Brooklyn Museum à New York, au Center for the Fine Arts à Miami, ainsi qu’au MoMA de New York. Une intégration pérenne de François Morellet sera par ailleurs réalisée dans l’escalier Lefuel au Musée du Louvre fin 2009.

Adresse :

galerie kamel mennour
47 rue saint andré des arts, Paris (75006)
du mardi au samedi, de 11 à 19h.
tel +33 1 56 24 03 63 

Site Internet :

http://www.kamelmennour.fr



 

 

Paris et ses expositions universelles, architectures, 1855-1937 à la Conciergerie

 

Exposition prolongée jusqu'au 26 avril 2009

Bien qu'éphémères, les expositions universelles successives ont profondément tranformé le paysage parisien et son
développement urbanistique. Elles ont légué des monuments qui font aujourd'hui la fierté des parisiens et la spécificité
de la capitale : la Tour Eiffel, le Grand et le Petit Palais, le Pont Alexandre III, les palais de Chaillot et de Tokyo. 

Deux cents tirages photographiques, réalisés à partir de clichés originaux issus des collections de la Médiathèque de
l'architecture et du patrimoine et des Archives nationales, sont ainsi réunis et illlustrent l'édification de bâtiments insolites
et grandioses, pour beaucoup aujourd'hui disparus. 

Cinq sections sont dédiées aux expositions universelles de 1855, 1867, 1878, 1889 et 1900, une complémentaire traite
les trois expositions parisiennes non universelles, qui en raison de leur caractère historique ou artistique majeur, restent indissociables des expositions universelles: 1925, 1931 et 1937.

Date de début : 12/12/2008 Date de fin : 26/04/2009 



MOTOR CITY

UN STUDIO MVRDV





J'ai trouvé ce projet très intéressant, vous pouvez y accéder à partir du lien suivant:

http://images.google.com/imgres?imgurl=http://www.dysturb.net/wp-content//2007/10/mvrdv-motor-multipurpose.jpg&imgrefurl=http://www.dysturb.net/2007/motor-city-charles-jencks-award/&usg=__KZS-dgW7IQ23m18E36AMDp3an0I=&h=704&w=1000&sz=284&hl=fr&start=158&um=1&tbnid=1GQRTJKN
JGNyxM:&tbnh=105&tbnw=149&prev=/im 

EXERCICE 3

 

PERSPECTIVE


PHOTOS MAQUETTE



             
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